Paris-Plage en juillet
Parasols sans vie et esseulés
Tables désertées par l’été apeuré
Sable de granit attendant la passante
Rares baigneurs au sec d’une mer absente
N’est pas plage qui veut
N’est pas Paris qui peut
Le soleil se marre dans son bleu haut perché
Heureux de pouvoir briller en toute tranquillité