Rue du Four, à l’heure céleste

Terrasse bruyante foule qui se presse sans but apparent

Bulle de douceur café crème mousseux et odorant

Masques blancs et multicolores becs de canard ou chirurgiens

Jeans neufs et pantalons percés se croisent en va-et-vient

Artistes inconnus, illuminés célestes qui parlent aux étoiles

Tu ne me dis rien mais tes yeux se dévoilent

Ballet incessant de passants trop pressés

Le temps s’est arrêté